• Développement cellulaire à l'école

     Premièrement, les téléphones cellulaires peuvent servir aux élèves en leur permettant de parler à leurs amis n'étant pas avec eux. En effet, certains élèves choisissent leur école en fonction des études et non en fonction de leurs amis. Dans ces cas, ces élèves priorisent leur étude mais ne peuvent pas parler à leur amis. L’interdiction des cellulaires à l’école leur empêche de rejoindre leurs amis et de garder contact avec ceux-ci même s’ils se voient moins souvent. De plus, cette règle peut être envisageable dans les classes, mais de là à l’interdire sur les heures de dîner et de récréations est un peu excessif. Selon une étude de Nokia Canada fait en 2005, 64 % des jeunes Canadiens âgés de 15 à 29 ans possèdent un téléphone cellulaire. Ainsi, on peut constater qu’en 2005, il y avait déjà une majorité des élèves qui avait un cellulaire. De nos jours, cette donnée ne peut qu’avoir décuplée. Ces pour la communication entre écoles que les cellulaires devraient être acceptés dans les écoles mais interdits dans les classes.

      

     Deuxièmement, ces merveilles technologiques peuvent servir en cas d’urgence. En effet, lors d’un accident, quoi de plus rapide qu’un téléphone cellulaire gardé au chaud dans un poche. Certains cellulaires ont même un bouton « appel d’urgence » intégré. En une vingtaine de secondes, les urgences sont déjà au courant de tout le scénario qui est survenu. Nul besoin de courir jusqu’à un téléphone publique, sortir son l’argent et appeler. En fait, ces précieuses secondes peuvent être cruciales à la survie de la personne blessée. C’est pour ces raisons que le cellulaire, si méprisé dans les écoles, devrait être d’une grande utilité pour les urgences des élèves. 

     


  • Commentaires

    1
    alexlamon Profil de alexlamon
    Vendredi 1er Mars 2013 à 15:33

    parle

    2
    lecorrecteur Profil de lecorrecteur
    Jeudi 21 Mars 2013 à 14:17

    Premièrement, les téléphones cellulaires peuvent servir aux élèves en leur permettant de parler à leurs amis n'étant pas avec eux. En effet, certains élèves choisissent leur école en fonction des études et non en fonction de leurs amis. Dans ces cas, ces élèves priorisent leur étude mais ne peuvent pas parler à leur amis. L’interdiction des cellulaires à l’école leur empêche de rejoindre leurs amis et de garder contact avec ceux-ci même s’ils se voient moins souvent. De plus, cette règle peut être envisageable dans les classes, mais de là à l’interdire sur les heures de dîner et de récréations est un peu excessif. Selon une étude de Nokia Canada fait en 2005, 64 % des jeunes Canadiens âgés de 15 à 29 ans possèdent un téléphone cellulaire. Ainsi, on peut constater qu’en 2005, il y avait déjà une majorité des élèves qui avait un cellulaire. De nos jours, cette donnée ne peut qu’avoir décuplée. Ces pour la communication entre écoles que les cellulaires devraient être acceptés dans les écoles mais interdits dans les classes.

     Deuxièmement, ces merveilles technologiques peuvent servir en cas d’urgence. En effet, lors d’un accident, quoi de plus rapide qu’un téléphone cellulaire gardé au chaud dans un poche. Certains cellulaires ont même un bouton « appel d’urgence » intégré. En une vingtaine de secondes, les urgences sont déjà au courant de tout le scénario qui est survenu. Nul besoin de courir jusqu’à un téléphone publique, sortir son l’argent et appeler. En fait, ces précieuses secondes peuvent être cruciales à la survie de la personne blessée. C’est pour ces raisons que le cellulaire, si méprisé dans les écoles, devrait être d’une grande utilité pour les urgences des élèves. 

    Tes 2 arguments sont discutables mais tu les développes correctement. Par contre, tu utilises très souvent les mêmes mots (en vert). Il y a quelques problèmes de syntaxe également. 13/20

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